Diana Mortador

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Quelques Infos ... Spoiler: Histoire ... Malgré les apparences, ma vie est loin d'être parfaite... Je dirai même qu'il y a des fois où elle a été franchement horrible... Mais j'aime trop le simple fait de vivre pour m'en plaindre... Je crois que je suis une winneuse, une fille née pour croquer la vie à pleines dents sans jamais se laisser broyer du noir, une fille capable de surmonter toutes les épreuves... Je me souviens du jour des mes vingt ans ! Et pour cause je venais de débuter mon travail en tant que journaliste dans un petit périodique, peu connu certes mais l'ambiance y était sympathique, je m'y plaisais... Et puis il allait de soi que je n'allais pas commencer immédiatement dans une grande boite... Alors pour l'instant je me contentais d'écrire des bottins sur les petites stars du coin... Ce n'était pas bien intéressant de savoir si untel préférait les brunes aux blondes ou si unetelle avait eu une liaison secrète avec un avocat, toutefois mon style d'écriture faisait rire les gens et les abonnés augmentaient un peu plus chaque mois... J'avais une maison assez volumineuse pour que deux couples de cinq personnes me rejoignent, et un hammam. Depuis deux semaines je sortais avec mon masseur Éric gros coincé qui ne m'avait même pas encore massé les seins de peur de perdre son job... C'était peut-être à cause de ça d'ailleurs que je reçus la malédiction... C'était peut-être ce qui avait déclenché tout le reste ! Quoiqu'il en soit exactement un an après avoir reçu le métier (c'est qu'il s'en passait des évènements les jours des mes anniversaire...) un mal de tête épouvantable s'empara de moi. J'avais l'impression qu'un milliard de voix s'étaient mises à crier toutes en même temps ! J'avais tellement mal en fait que je fus obligée de rentrer à la maison plus tôt que prévu... Commencèrent alors de longues et douloureuses journées qui allaient durer deux mois... Par chance Éric me rendaient visite deux fois par semaines... Sa physionomie de grand surfeur brun m'aidait à me relaxer... Même si ses visites me laissaient frustrée... Cela faisait plus d'un an qu'on sortait ensemble. Quand enfin allait-il me toucher les seins ? Ou les fesses ? Ou même encore les cuisses ? Et plus encore quand allait-il enfin me faire l'amour ? Mais peut-être était-il gay... Peut-être... Au bout de deux mois la douleur avait complètement disparue. J'en étais si heureuse que je me décidais de me rendre au boulot... Sauf que mon bureau, cela faisait longtemps que je ne l'avais pas occupé... Alors lorsque je me rendis au journal quelle ne fut pas ma surprise de voir le bureau peuplé de bibelots antiques... Évidemment je voulus savoir ce que signifiait cette mascarade alors j'entrais en trombe dans le bureau du directeur en chef... Ses joues devinrent cramoisies lorsqu'il me reconnut. - Oh bonjour Diana ! Quel bon vent vous amène ? réussit-il tout de même à dire - Je suis venue reprendre mon poste John, et je n'avais pas eu le temps de m'excuser pour cet.. hum accident qu'il m'est arrivé... - C'est que... Humm... Enfin... - J'ai compris vous avez demandé à quelqu'un de me remplacer... - Oui... - Mais qu'attendez-vous pour le congédier ? Faites lui faire ses bagages ! Je suis de retour ! - C'est qu'il était aussi compétant que vous et que comme vous êtes une femmes... - Oh non ! Ne me sortez pas cette vieille excuse ! Je vous en interdis ! Espèce de macho. ! - Non Diana vous ne comprenez pas... C'est que puisque vous êtes une femme j'ai pensé que ce genre d'incident pouvez-vous arriver assez souvent... C'en était trop pour moi, sans plus attendre je lui donnais une claque monumentale. Sauf qu'il avait prévu ma réaction et il m'attrapa la main bien avant qu'elle n'atteigne son visage. Sauf que là... il se passa un truc vraiment étrange... à la place de me congédier et m'engueuler il devint.... vraiment pervers... à croire que les femmes qui gifflent ça l'exitait... Peut-être que ce type était maso après tout, du moins c'est ce que je croyais. Tout en gardan ma main dans la sienne il se pencha vers moi et m'embrassa tout en commençant à me déshabiller... - Ouvre-toi à moi, criait-il, laisse moi entrer en toi.... Bien naturellement je me débattais. Je n'avais pas envie que ce vieux dégueulasse me fasse l'amour. Ca c'était hors de question ! Mais il n'avait pas l'air de vouloir m'entendre. Il était devenu complétement cinglé ! Alors je me mis à hurler... A ce stade nous étions nus tous les deux comme des vers, il m'avait plaqué contre son bureau et... il s'apprétait à... c'est bon je ne vais pas vous faire un dessin ! Mais par chance mon cri avait alerté des gens du bureau d'à côté. Alors le journaliste chargé de commenter les matchs de football vint à ma rescousse... Sauf qu'en voulant écarter l'autre cinglé de moi il commit l'erreur de me toucher... alors se dégager d'un homme c'est déjà être balèze alors se dégager de deux.... presque complètement infaisable. Qu'est-ce qu'il leur prenait à tous les deux ? Avais-je l'air d'une chienne en chaleur pour qu'ils se montrent si.... si.... rah je trouvais même plus les mots tellement la situation m'énervait, et me faisait flipper... Je voulais m'armer d'une batte de baseball et les mettre KO tous les deux en un seul coup... Mais que pouvais-je bien faire ? J'étais déjà nue.... Je me souviendrai tous les jours de cette journée d'épouvante et de haine... de la façon dont j'ai souffert... des ces gens qui regardaient ce qu'il se passait sans oser intervenir, de la police qui a fini par arriver et par chance qui ne m'a pas touché, de la douleur énorme lorsqu'on entra en moi, de l'horreur, de... je vous passerai les détails. Quoiqu'il en soit quelques temps plus tard, le directeur en chef et son coéquipier perdirent leur boulot, inutile de préciser pour quoi, et la boite commença à sombrer, n'ayant personne pour la tenir. Grâce aux relations qu'avait Père, l'affaire fut vite ébruité et j'obtins un nouveau poste dans un autre journal. De plus je compris vite ce qu'il s"était réellement passé : j'étais une contaminé, j'avais hérité d'un pouvoir que je ne souhaitais pas. Il suffisait qu'une personne me touche pour qu'elle se transforme en bète sauvage... Je revêtis alors une combinaison de cuir, n'osant guère quitter mes gants (vous m'aurez dit deux ans plus tôt que je serai heureuse de les porter je me serai mise à vous rire au nez)... Je cassais avec Eric sans lui donner de raison... Les gens me trouvaient étrange. Je me refermais sur moi-même, j'appris à les détester, à me comporter comme une vraie peste. la peste devint d'ailleurs mon surnom. Mis à part ça je menais une vie assez normale. J'étais toutefois heureuse. Après la mort de mes parents j'avais hérité de leur fortune et de leur manoir. Rien ne me manquait, j'étais comblé. Un jour j'eus un nouveau coup de foudre, pas de chance il n'était pas réciproque. Alors après de longues discutions avec moi-même je décidais d'user de mon pouvoir. Il me fit l'amour comme il ne l'avait sans doute jamais fait. J'en fus heureuse et comblée. Sauf que... Le lendemain il ne s'en souvenait plus... Ou alors ça lui apparaissait comme de simples rêves. Ce n'était peut-être pas plus mal. Ayant eu ce que je voulais de lui je l'oubliais et recommencer avec quelqu'un d'autre. J'ai ainsi usé de mon pouvoir deux fois volontairement. Et je dois avouer que des fois je suis heureuse de l'avori même si il rend ma vie bien plus complexe et compliquée. Caractère ... Je suis... hum... folle ? impulsive peste courageuse déterminée

Ton Pseudo ?? Di'
Ton Age ?? chuis jeune, fraiche et... enfin voilà quoi
Comment es tu arrivé ici ?? c'est une longue histoire.... je m'endormais quand un fantome a surgi devant moi... Il m'a dit d'aller sur uprising.... et comme je n'ai pas souhaité me faire de lui un ennemi (suffit de voir les films pour voir que les fantomes vaut mieux ne pas les avoir en ennemi) bin chuis là
As tu bien lu le règlement ??

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