Alec Parker

© DYDY - Feat. Alex Pettyfer

Quelques Infos ... Spoiler: Histoire ... « Alec, ta maison est ici, dehors c’est dangereux… Ses murs te protègeront toujours des monstres qui essaye de venir te kidnappé pour te faire du mal » _ Mais Maman… « Alec chéri, chuutt. Il faut que tu viennes avec moi, maintenant c’est l’heure de prendre tes médicaments, on nous attend au sous-sol.» _ Je déteste prendre ses médicaments, maman… « Alec, on ne discute pas la santé ! Un jour tu comprendra, tu me remerciera.... » Je me rappelle de cette froide journée entre les murs humide du laboratoire ou j’ai traîner trois heures à faire des examens, des test et prendre des médicaments. Ce jour la j’avais peur de mourir mais cette peur sait dissipé lorsque les scientifiques m'ont pris avec douceur et ont commencer leurs examens avec moi et leurs piqûre, pour avoir été gentil j'avais le droit de toucher les seringues... J’avais sept ans et je sais que, dans les murs de ma « maison » il y avait une folle dangereuse placé au sud. Maman me répétait souvent que je ne devais jamais aller dans le bâtiment sud et ouest sinon je risquais de ne plus dormir la nuit. Chaque jour il y à des nouvelles personnes qui arrive, des fois ils sont caché par des draps blanc tâché de sang ou bien ils n’ont que les yeux bandé, homme ou femme, mais jamais d’enfant. J’écoutais dans leurs têtes et je savais qu’ils avaient tous peur ? Mais peur de quoi, de qui ? Les gens ici sont gentil, je ne comprends pas pourquoi ils ont peur, justement, ils veulent nous aider car ils nous soignent. Le dîner pour moi se passe dans ma cellule, chaque jour je mange mais jamais à ma faim, des fois j’entends les scientifiques passé dans le couloir discutant qu’ils mangeraient bien des frites avec de la sauce mayonnaise ou un bon chips… C’est quoi un chips ? Alors je m’imagine manger cette chose, je l’imagine grand, appétissant et goûteux. Dans ma cellule je n’ai droit cas un lit blanc, une armoire avec un bloc note et un crayon à mine noir et une toilette sur le coin de la pièce, il n'y à pas de fenêtre au mur, ils ne veulent pas. Des fois, j’imagine avoir des choses comme dans les livres que maman me donne à lire. Quand je vois les autres enfants sur les pages des magazines de meubles s’amuser, ou faire semblant de s’amuser, je m’imagine à leurs coté, à lancer les coussins pour que les plumes s’en échappe en plein vol ou dans une cuisine à manger du pain avec… C’est quoi ce pot brun ? En tout cas, sa à l’air bon car la petite fille que l’on voit se lèche les doigts. Mon ventre gargouille, j’ai faim, je n’ai pas assez mangé… J’aimerai autre chose qu’un verre de jus d’orange et d’une tartine de beurre avec une tranche de fromage. Maintenant que j’ai quinze ans, ils ont décidé de me changer de pièce et de changer mes traitements, maman me dit toujours que c’est pour mon bien, qu’elle ne veut pas me voir grandir avec eux mais il le faut. Je fis placer dans le bâtiment ouest, celui dont j’ai toujours douté, celui ou les fous cris tout les soirs sans jamais comprendre pourquoi… Le soir même j’ai compris, ceux que je pensais être ma famille m’ont abandonné à d’autres personnes, ils m’ont laissé dans les bras de scientifique plus violent. Lorsque je dit violent,c'est quand j’ai pris du temps à enlever mon t-shirt, ce qui ne leurs à pas plu alors ils se sont jeter sur moi pour arracher mon t-shirt et le reste de mes vêtements pour me laisser en boxer dans cette pièce sombre et humide pour m’attacher sur une table de laboratoire, froide et raide. J’étais aveuglé ce jour la par le spot devant moi et on m’injecta plusieurs seringue dans le bras, ma vue baissait petit à petit et je partais dans le sommeil, la seule personne que je vis en dernier était cette femme, le sourire aux lèvres et ou j'avais pu entendre ses derniers mots qui était: "C'est bon, enfermer le..." Cette année, je fête mes 17 ans. Seul. Maman, ou plutôt la femme que je prenais pour ma mère n’est pas venue me le souhaiter, de toute façon, depuis mes quinze ans je ne veux plus la voir, elle m'a abandonné, m'a jeté en enfer. J’entends les autres autour de moi discuter dans leurs tête, ils aimeraient sortir car leurs familles leurs manque, l’un pense à sa femme, un autre pense à sa fille, il aimerait la retrouvé à la sortie de l’école et ensuite allé lui acheté une glace… Une larme coule sur ma joue, je ne connais pas tout sa et pourtant, j’en ai rêvé. Comme si les images des magazines se dessinait dans mes rêves et me fessait voyager au bout du monde. Lors des sorties dans la cours renfermer par des murs haut de 15 mètres recouvert de tôle brune et éclairé par des spot blanc, la lumière du jour... Je ne connais pas... Je décidais d’aller me joindre à un groupe de trois personnes, deux hommes et une femme, ceux-ci me regarde bizarrement et la jeune femme me sourit. Je vais m’installer près d’eux et je leurs pose mes questions, ils me répondent mais rit de moi. Lorsque je leurs dit que je ne suis jamais sorti d’ici alors il se regarde et discute entre eux, j’écoute leurs pensée et ils se disent que je suis le garçon de laboratoire, celui qui sert à les tués, celui qui fais les expériences, celui qui n’aurai jamais du exister dans cette prison… Leur mort absolue. Cela fais quelque mois que je ne sors plus, je ne veux plus voir personne, j’essaye de m’imaginer loin d’ici, dans un désert ou personne ne pourrais rire de moi, ou personne ne pourrais s’inquiéter pour moi sauf celui en qui j’ai foi, j'ai même essayer de le rejoindre un soir alors qu'on m'avais laissé une lame de rasseoir pour rasé ma barbe de deux jours. Au fond, suis-je vraiment un être humain ou juste un cobaye parmi tant d’autres, d’après les autres détenus, je suis maudit, je n’aurai pas dû vivre. Mais pour les scientifiques, je suis précieux… Et si ma vie n’aurai jamais dû être ici mais ailleurs, tant de question qui n’auront jamais de réponse, quelque soir j’aimerai connaître la vérité mais j’ai peur qu’elle soit lourde et dur. J’ai envie de goûter cette glace, de manger un chips et de trouver l’amour, l’amour d’une personne en qui je pourrais avoir confiance car la confiance je ne connais plus depuis que cette mère m'a abandonné aux scientifiques, depuis qu’on me torture pour une piqûre, depuis qu’on détruit l’enfant gentil que j’étais, depuis que mes rêves ne deviennent que cauchemars… Il y à des soirs ou j’ai envie de franchir ces portes noirs, de quitter cette prison d’où la vérité est secrète, car j’ai aussi appris par cette femme qui traînait avec ses hommes que, dehors, un monde nouveau s’appelle « la liberté ». Mon imagination pourrait être ce monde, loin de cette prison que j'ai envie de quitter mais qui est très sécurisé, où personne sauf la folle à pu s'échapper, au moins elle, elle à trouver sa liberté. Une personne dans le laboratoire m'intrigue, elle est différente des autres, on dirait qu'elle connait des choses sur moi, je n'ai jamais su lui parler réellement mais j'écoute ses pensées, elle est un peu comme une mélodie dans ma tête car elle change de tout ce que j'entends, nous nous sommes déjà échangé quelques mot et je sais qu'elle s'appelle Callista... j'aimerai savoir ce qu'elle sait de moi. Caractère ... Je suis... gentil curieux rêveur émotif réfléchis

Qui suis-je ??

Ton Pseudo ?? Barbe noir
Ton Age ?? 24 ans
Comment es tu arrivé ici ?? Partenaire
As tu bien lu le règlement ??

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